• 3 jours de pur bonheur  car j'ai eu la chance de voir nina,ian,paul et torrey en france!


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  • Main froides, cœur chaud.

    Après avoir déversé tout les sanglots si longtemps retenus, ils se regardèrent dans les yeux, Paul tenant les mains d’Elodie. Les mains de Paul étaient froides mais Elodie adoraient l’effet de chaleur qu’elle produisaient sur sa peau ,ce qui était tout à fait ironique. Elodie coupa se silence qui n’était en aucun cas pesant et désagréable bien au contraire.

    - Je suis contente que tu sois à nouveau ici ,tu m’as tellement manqué.

    - Toi aussi et désolé pour ce matin et tout l’heure. Il faut que tu comprennes que ce n’est pas évident pour moi d’être ici et avec toi.

    - Comment ça ?Dit Elodie ne comprenant pas ce que Paul voulait insinuer.

    - Le fait est que je t’aime Elodie.

    A ses mots, le visage d’ Elodie s’illumina ,elle se mit à rougir ,elle qui avait temps attendu pour l’entendre de nouveau prononcer ces mots.

    - Le fait est que je t’aime Elodie , mais que être ensemble est impossible . Avant je ne pouvais être avec toi par peur de briser notre amitié , aujourd’hui je ne le peut car je ne cesse qu’elle genre de personne sa ferait de moi. J’ai tué mon meilleur ami, il t’aimait et son image me hante, dit Paul se remettant à pleurer.

    Elodie lui prit le visage et lui dit.

    - Paul , ce n’est pas évident pour moi aussi. Mais Travis ne peut continuer à nous hanter toute notre vie, il nous faut avancer !

    - Elodie ,la peine que j’ai est insurmontable j’ai beau essayer de la chasse je ne le peut. L’amour que j’avait pour toi n’est plus pur. Je suis revenus car tu me manquait mais être près de toi est encore plus dure pour moi.

    Elodie devînt blême , il lui disait qu’il l’aimait et en même temps qu’être à ses côtés étaient impossible. Il avait été capable à la fois de la rendre heure et en même temps de la blesser.

    - Ecoute te voir me rend fou de joie n’en doute pas mais je ne peut arrêter quand je te vois de voir ces images de Travis déferler dans ma tête comme un film qui jamais ne cesse. Mon cœur saigne et personne même pas toi n’est capable de changer cela !

    - Je peux essayée changer cela toi aussi ne doute pas de moi, je t’aime Paul et je te promet de t’aider à atténuer ta peine et peut être même à l’effacer C’est promis !

    - Merci ,mon Elodie.

    Elodie adorait qu’il lui dise son Elodie elle l’était toujours à ses yeux  et allez l’aider à ôter cette peine .Ce qu’elle ignorait c’est que Paul avait trouvé la seule chose capable de lui effacer sa peine et c’était qu’il meurt !


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  • J'ai modifiée mes chapitres maintenant chaque chapitre a une citation.Pour les chapitres pércédent il y en a aussi mais elles ne seront pas sur le site.


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  • Dieu sait que nous n’avons jamais à rougir de nos larmes, car elles sont comme une pluie sur la poussière aveuglante de la terre qui recouvre nos cœurs.

    Charles Dickens



    Le lendemain je ne pus me lever tout de suite et resta à fixer le plafond de ma chambre pendant une bonne heure. Qu’est ce que je devais faire ?Et si il n’avait plus rien à me dire ?Si la perte de Travis nous avaient éloignée plus qu’autre chose ?Je voulais des réponses à mes questions. Je pris donc mon portable et le  papier avec le numéro de Paul et composa son numéro. Au bout de deux sonneries il décrocha .

    - Allô, il avait une voix encore fatiguée je compris que je venais de le réveiller, je lui répondit hésitante.

    - Heu c’est Elodie on entendit à ce moment que  le bruit de nos respirations saccadées, j’y mis fin.

    - Oui, je voulais te demander si on pouvait se voir aujourd’hui pour parler ?

    Un autre silence se fit et je commença à perdre patience.

    - Écoute Paul, c’est toi qui est revenus alors répond pas oui ou non car les silences commencent à me peser.

    -  Oui, oui je veux que l’on se voit, dit moi quand et à quel endroit.

    -  A quinze heure dans la petite ruelle si tu te souvient ou elle se trouve.

    - Bien sure que je m’en souvient, bon à tout à l’heure, puis il raccrocha.

    Il m’avait répondu assez méchamment, j’avoue que j’avais un peu exagérée mais de là à s’énerver de la sorte. Quelque chose me disait que les retrouvailles n’allaient pas êtres aussi joyeuse que ça mais plutôt tourner en règlement de compte.

    ۞

    Elodie venait de m’appeler et voulait que l’on se voit. Je pris ma douche puis passa du temps avec ma sœur et mes parents ils m’avaient tellement manqués .Mes parents sortirent en suite et je me retrouva avec ma sœur .J’était allongé sur le canapé ma sœur assise sur moi, ont regardaient Gossip Girl une série dont j’était accro (ok c’est pour les filles mais j’adorais) et ma sœur aussi. Alors que j’était plongé dans l’épisode je jeta un coup d’œil sur mon portable ,il affichait 14h45,il était temps que je parte.

    - Allez pouce toi espèce de baleine ,dis-je à ma sœur

    - Non mais ta vu comment tu me parles .

    - Bah c’est vrai dis-je en souriant

    - C’est normal t’est partit pendant 3 ans et j’ai donc mangé pour compenser ton absence, dit elle en mimant une mine triste.

    - Oh, ma pauvre bah maintenant que je suis la tu peux arrêter sinon tu vas finir par exploser.


    Elle me lança le paquet de chips qu’elle avait entre ses mains, alors que je me dirigeait vers la porte en rigolant. Ma sœur m’avait manquée c’est fou il a fallut que je revienne pour me rendre compte que Hostine m’était indispensable !Ruth m’avait redonné le sourire alors que j’était encore en colère par rapport au semblant de conversation de ce matin avec Elodie.A 15h j’arriva donc à la ruelle ,elle m’attendait déjà.

    - Salut

    - Donc tu voulais qu’on parle je t’écoute.


    - Heu que je sache c’est toi qui m’a appelée ce matin et puis quand quelqu’un vous dit bonjour la moindre des politesses est de dénier lui répondre !

    - Oui, mais c’est toi qui voulait me parler hier soir ,répondit elle sans prendre en compte ma remarque.

    - C’est vrai mais ça c’était hier et beaucoup de choses changent en une nuit.

    - Tu vas jouer à ce jeux encore longtemps, apparemment tu n’as pas grandit Paul.

    - Ecoute si tu m’as appelée pour passer tes nerfs sur moi, autant que je parte.

    Je lui tourna le dos quand je sentis sa main sur mon épaule.

    - Ne part pas Paul, s’il te plait !

    Elle me mettait hors de moi, mais je l’aimais temps, je me retourna et croisa ses magnifiques yeux noisettes qui m’avaient temps manqués .C’est pour ça que j’était énervé elle ne se rendait pas compte du fait qu’elle m’avait manquée, sa peau douce, son sourire, sa voix tout chez elle m’avait manqué. Ses qualités comme ses défauts car elle en avaient comme le fait qu’elle soit buté et me mette hors de moi, mais malgré tout je l’aimais.

    ۞


    Elodie avait tellement mal. Les larmes s’échappaient sans qu’elle ne s’en aperçoive de ses yeux fatigués contemplant le regard glacé et réconfortent de Paul. N’en pouvant plus, elle se laissa aller et relâchent toute la pression des jours passés loin de lui, toute la tristesse cumulée et l’abandon contenue, elle étreignit Paul dans ses bras et laissa les longs sanglots coincés dans sa gorge sortir. Et les deux amis qui s’aiment et s’aiment toujours pleurèrent et pleurèrent encore à l’unisson.


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  • Dieu fit des repentir la vertu des mortels.

    Voltaire


    J’avais roulé toute la nuit ,aujourd’hui c’était le jour « J »,son anniversaire. Il fallait que j’arrive à temps pour souffler ses bougies. Après avoir bien roulé, je m’arrêta dans un supermarket afin d’acheter quelque bricole, puis me remis en route. Il était douze heure.

    Eclipse 8 heures :

    Huit heures étaient passées il ne me restait plus que quelque bornes et j’était arrivé, je mis un coup d’accélérateur sur la pédale.

    ۞

    La fête avait commencée depuis une heure déjà, Fiona était partie avec mes parents dans la cuisine pour m’apporter mon gâteau en chocolat !
    La voir accompagnée de mes parents et m’apporter mon gâteau  entourée de tout mes amis ,me rappela mes quinze ans. Sauf que Paul et Travis étaient à mes côtés cette année là et que trois ans étaient passé aujourd’hui et que l’un était mort et que l’autre fera bientôt partis de mon passé. Le comble était que les parents de Paul et sa sœur Ruth étaient présents. Ils avaient été là pendant ces trois années, je ne put m’empêcher de laisser couler une larme que j’essuya sur le champs. Ils étaient ici avec moi mais Paul non. Je m’apprêta à souffler mes bougies mais juste avant je fixa la porte d’entrée espérant voir Paul, mais ça ne fut pas le cas. Je fis donc mon vœu et souffla mes bougies. La fête continua en suite.

    ۞

    J’était à cinq minutes de sa maison quand j’entendis des bravos et des applaudissements, elle avait soufflée ses bougies, sans moi !Je resta dans ma voiture sans oser sortir quand je la vis. Mon cœur manqua un battement ,elle était si belle. Elle était devenu un peu plus grande, sa taille était fine mais son bassin plus large, ses cheveux noire étaient bouclés et lui retombaient sur le dos. Elle portait une robe bleue qui lui allait magnifiquement bien. Elodie parlait avec Fiona qui elle aussi était très belle, elles riaient ensemble et Elodie laissa apparaître son beau sourire .Je me dis que j’avais quitté une fille mais en revenant c’était une femme que je regardais. Je sortis de la voiture et alla dans la direction des deux jeunes femmes.

    - Bonsoir
    - C’est pas vrai Paul ,c’est vraiment toi, je dois être en train de rêver !Dit Fiona

    - Si c’est un rêve on fait le même, dit Elodie plus durement.

    - Je suis là parce que c’est ton anniversaire ,je ne pouvais le manquer.

    - Tu en as pourtant manqués quand tu es partis en quoi est-ce différent aujourd’hui ?

    - Je voulais être la pour toi.

    - C’est trop tard ,laisse moi ok, je rentre j’ai des invités.

    - Mais, dit Fiona


    Elodie partis et nous laissa dans l’incompréhension la plus totale.


    -Désolé Paul

    -Non ne t’inquiète pas Fiona, je me doutait qu’elle ne serait pas vraiment ravis de me voir, c’est rien.
    -Tu sais je pense qu’elle est encore sous le choc, demain elle ira mieux je pense.

    -ok, si tu le dis, sinon quoi de beau en trois ans ?

    -En trois ans ta pas manqué grand chose, dit elle en riant.

    Nous allâmes dans ma voiture et parlâmes pendant deux heures. On avait parlé de Travis et du fait que le deuil ne sera jamais fait totalement. Puis Fiona repartie à la fête et moi je rentra.

    ۞

    La fête battait son plein, mais après avoir vu Paul je n’avais plus le cœur à m’amuser, je dis à tout le monde car je ne me sentait pas bien et p que je redescendrait tout à l’heure. Je monta dans ma chambre, je ne devais pas pleurer, je me l’interdis. Pourquoi pleurer pour quelqu’un dont je devais faire le deuil. Même si quand je l’avais vu mon cœur c’était emballé et que j’avais du mal à respirer. Il était devenus plus grand , plus musclé et était toujours aussi beau. Ses cheveux étaient toujours noirs et pas coiffé ce qui lui donnait un air espiègle. Ses yeux étaient encore hypnotisant .Il m’avait quitté en garçon et était revenu en homme. Mais que croyez t’il qu’il suffisait qu’il se pointe pour que je lui saute dans les bras, oui il m’avait terriblement manqué et alors ?
    Je ne sais pas combien de temps j’avais passée dans ma chambre quand on toqua à ma porte.

    -Entrez, dis je avachit sur mon lit.

    - Dis moi tu c’est que c’est impoli de fausser compagnie à sa propre fête ,me dit Fiona.


    - Désolé, mais j’était trop chamboulée pour continuer à m’amuser.

    - Tu sais Elodie ,tu peu en vouloir à Paul  pour beaucoup de chose mais même si il est partit , il pensait toujours à toi et pour ça il ne te jamais laissé.

    - Je sais ,c’est juste que je me sens toujours un peu coupable pour Travis et si Paul en me regardant ne retrouvait plus son Elodie mais une fille qui a gâchée sa vie.

    - Il ne pensera jamais une chose pareil ,j’ai parlé avec lui il a beaucoup souffert d’être loin de toi, ne le rejette pas Elodie. Vous avez besoin tout les deux l’un de l’autre et tu le sais !

    Puis elle déposa sur ma table de chevet le numéro de Paul et sortie de ma chambre en me laissant avec mes pensées, je finis par m’endormir en passant à ce que je ferrais demain.


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